Faire partie d'un réseau
de relations offre de multiples avantages, mais ceux-ci s'exercent forcément au
détriment de l'égalité des droits dont chaque citoyen est sensé pouvoir jouir.
Quand on lit
l'historique de l'aïkido en France, on apprend que la direction des deux "fédérations"
leader de notre discipline, ont été noyautées dès le début de leurs
constitutions.
Sachant cela, il est
plus facile de comprendre l'origine des nombreux barrages faisant obstacle au
développement des dojos indépendants, quand ceux-ci ne sont liés ni à une
fédération ni à un réseau franc-maçonnique, le tout étant imbriqué.
D'où la
difficulté aussi, de pratiquer selon la tradition "un maître un dojo"
comme cela se fait partout...sauf en France.
Lorsque vous voulez créer votre propre dojo, son existence puis sa survie seront déterminés selon que vous vous situez dans une zone d'influence ou pas.
Si le hasard fait qu'il se situe dans une région "contrôlée", vous aurez tôt fait de constater que l'environnement ne vous est pas favorable et une succession d'évènements négatifs que vous prendrez au début pour de la paranoïa, viendront se mettre au travers de votre pratique au détriment du développement de votre dojo.
Au fil du temps et par recoupements, vous finirez par comprendre qu'il n'y a aucune force obscure mais que vos difficultés sont bien liées à des individus tirant les ficelles derrière une entité qui n'a pas vocation à s'afficher.
Lorsque vous voulez créer votre propre dojo, son existence puis sa survie seront déterminés selon que vous vous situez dans une zone d'influence ou pas.
Si le hasard fait qu'il se situe dans une région "contrôlée", vous aurez tôt fait de constater que l'environnement ne vous est pas favorable et une succession d'évènements négatifs que vous prendrez au début pour de la paranoïa, viendront se mettre au travers de votre pratique au détriment du développement de votre dojo.
Au fil du temps et par recoupements, vous finirez par comprendre qu'il n'y a aucune force obscure mais que vos difficultés sont bien liées à des individus tirant les ficelles derrière une entité qui n'a pas vocation à s'afficher.
Voici
ci-dessous des éléments qui peuvent contribuer à comprendre.
Le 1er texte
est issu du site internet de l'EPA ISTA http://dojoista.com
Le 2e a été copié du
site http://blogjeand.wordpress.com/2012/04/12/franc-maconnerie-dites-vous/
Texte
extrait du site EPA :
"Aïkido
Traditionnel
de 1951
à 1960
...À
qui demande-t-on de faire l'union de l'aïkido français ? À un sportif qui ne
fait pas d'aïkido, le président du judo. Typiquement français.
Cette
absurdité n'a pu exister que grâce à deux hommes, Messieurs Pfeiffer et
Bonnefond respectivement président du judo et de l'aïkido. Pourquoi ? Tout deux
franc-maçon, tous les deux en affaires à titre privé gérant tous les
deux 2 grosses entreprises. Contre eux, un maître japonais se retrouve tout
seul pour défendre l'aïkido traditionnel c'est "Maître Tamura"...
1971
fin de l'aïkido traditionnel:
Les
associations culturelles disparaissent et laissent place à l' UNA qui regroupe
toutes les tendances d' aïkido.
La
diversité, qui est une qualité et un luxe apprécié, devient une chose honteuse
qu'il faut éliminer. Tout le monde doit être dans le même moule. Il faut
normaliser, simplifier, caricaturer sous prétexte de rendre les choses plus
simple à comprendre mais ce qui en fait, facilite la manipulation des foules.
Les francs maçons de l'aïkido et du
judo
s'en chargent...
l'histoire officielle n'en parle jamais bien sûr.
Malgré
un fonctionnement déviant franco français, le lien avec K Ueshiba et l'aïkikaï
est maintenu. Les japonais ayant pris peur pour leur leader ship, enverront M
Chiba briser l'ACEA association Culturelle Européenne d'Aïkido... mission
accomplie
1981 la
rupture: FFLAB / 2F3A
Départ
de M Tamura et de ses élèves qui veulent se désolidariser de la tutelle du
judo.
Alain
Peyrache organise la réunion qui verra la création de la FFLAB au 1 er étage du
restaurant «le mouton noir» à Tassin la demi lune (69).
De
rage, le judo exclut ces frondeurs de tous les clubs de judo de France. Reste
ceux qui collaboreront avec le judo et qui deviendront FFAAA après avoir
récupéré les postes qu'ils ambitionnaient et qui ont été laissés libres après
le départ de Maître Tamura et de ses élèves.
C'est
de cette période que se créé, par les acteurs actuels, la FFLAB et la 2F3A qui
s'entre-déchirent encore actuellement, trente ans après. La FFLAB deviendra
vite FFAB car le ministère de la jeunesse et des sports a fait enlever ce
"L" de libre ... dans une fédération il n' y pas de liberté.
Départ
d'Alain Peyrache qui créera l'epa 4 ans plus tard pour ne pas recommencer
encore les mêmes bêtises, avec les mêmes acteurs, pour les mêmes raisons sans
tirer les leçons de l'histoire.
Texte
issu de ce site (un anonyme vétéran de l'aïkido) mis en ligne le 12 avril 2012
: http://blogjeand.wordpress.com/2012/04/12/franc-maconnerie-dites-vous/
« J’ai entendu dire aussi que les
francs-maçons y seraient pour quelque chose, en même temps là on rentre un peu
dans la théorie du complot. Il est bien difficile pour nos jeunes pratiquants
de s’y retrouver, pouvez vous apporter quelques éclaircissements ? »
Moi qui parlait de sujet « brulant » dans une précédente réponse,
je vois que certains n’ont pas leur langue dans leur poche ! Mais la question
est intéressante et en sous-tend une seconde qui va droit au but :
intérêts personnels et arts martiaux font-ils bon ménage ? Je vais tenter d’y
répondre ci-dessous toujours en évoquant mon expérience personnelle et mon
vécu.
Dans l’article précédent j’évoquai l’assemblée générale de la FFLAB au
« monton noir ». La FFLAB sera-t-elle sauvée de tous ces conflits
d’intérêts ? Non. Le nouveau président confiera à l’issue de l’assemblée :
« ne l’ébruitez pas, je vais vous
confier un secret : je suis franc-maçon ». Pendant qu’un autre
franc-maçon prendra la tête de ce qui sera la 2F3A. Comme vous le constatez
la question est loin d’être hors sujet !
Rappelons les faits : l’aikido au début des années 80 tente de
s’émanciper en quittant la fédération française de judo. Pourquoi ce départ ?
Fidèle à son comportement habituel le judo tentait de faire de l’aïkido une
sous discipline du judo sans autonomie. Comment est-ce possible ? Le président
du judo et le président de l’aïkido étaient de
vieux complices entrepreneurs dans la vie, franc-maçon le reste du temps quand
ils ne faisaient pas d’aïkido ou de judo. Même encore aujourd’hui on retrouve
cette secte de franc-maçon et son influence un peu partout dans le monde
martial. Pourtant personne n’en parle.
Le président du judo (plusieurs fois président) visait une place au comité
olympique. Le président de l’aïkido (lui aussi plusieurs fois président),
constatant que l’aïkido ne lui donnerait jamais la notoriété qu’il convoite
avec ambition, était prêt à vendre l’aïkido au judo. De ces deux cerveaux maçonniques jaillira une idée à
la mesure des ambitions de ces deux présidents : la création d’une
confédération des arts martiaux entièrement aux mains du judo, les statuts
étant étudiés par les franc-maçon de Limoges. L’aïkido était le dindon de la farce mais
son président devenait le président de cette confédération ce qui ouvrait les
portes du comité olympique au président du judo…
Emballé c’est pesé ! La FFAB remplacera la FFLAB pour retomber dans
les mêmes erreurs que l’UNA pour une raison simple : les mêmes gens ne pouvant
avoir que le même fonctionnement. Fini la liberté-le « L » de FFLAB
disparait au passage. Retour à la case départ avec deux fédérations au
lieu d’une et toutes les gue-guerres actuelles. Alain Peyrache déçu par la
tournure des évènements partira en créant l’EPA.
Ça aussi c’est une caractéristique de l’aïkido : la première emprunte est
toujours là, malheureusement il est très difficile pour ne pas dire impossible
de la faire évoluer pour toutes les raisons que nous venons de voir.
Vous comprenez maintenant l’intérêt de ce blog : l’histoire revisitée avec
un œil nouveau."