"Ils ne mouraient pas tous, mais tous
étaient frappés"
(Les Animaux malades de la peste - La
Fontaine)
Il y a des années de cela
(2008), nous avions été destinataires d'une
lettre ouverte
rédigée par un très ancien membre de la structure à laquelle nous appartenions.
Le propos nous échappait
car à l'époque, nous n'avions pas encore été confrontés aux problèmes évoqués
et l'on pratiquait sereinement sans que personne ne nous cherche de
noises.
Il en va tout autrement
aujourd'hui.
C'est par hasard que nous
avons retrouvé ce
lien URL
Les pages étant
particulièrement bien rédigées, nous ne pouvons que conseiller de les consulter
car elles recoupent nos (tristes) analyses.
1 / Ni les premiers ni les derniers ou : mêmes maux, mêmes
conséquences...
Certains des personnages mentionnés
à cette adresse (repérés au travers les dojos
cités) sont les mêmes que ceux qui ont tenté de nous nuire.
Si l'on suit les liens menant aux
sites de leurs dojos, il n'est pas nécessaire d'avoir une grande capacité
d'analyse pour comprendre qu'on est en présence de pratiquants présomptueux et
mégalomanes, suffisants et imbus de leur personne, bref de profils à l'opposé
de ce que l'on souhaite rencontrer quand on choisit de pratiquer l'aïkido.
Outre que le
langage est souvent primaire, le ton péremptoire et les sujets (empilements
répétitifs de blablas tendant à l'obsession paranoïaque) sont symptomatiques
d'un état d'esprit peu compatible avec une quête de l'harmonie.
Informer sur les choix
d'une pratique et ses caractéristiques n'oblige nullement à piétiner ce qui se
fait ailleurs ou autrement. Cette attitude très offensive révèle une incroyable
intolérance et trahit une grande faiblesse.
Ces comportements ne
correspondent pas aux fondements philosophiques de l'aïkido et l'on ne peut que
fortement douter de la cohérence entre leur discours et leur pratique :
- comment peut-on s'auto
qualifier de "maître" (d'aïkido) et agir à l'opposé de ses concepts ?
- comment peut-on avoir
l'audace de se référer à l'aïkido traditionnel (donc à Ueshiba Morihei) et se
comporter en salopard dans la vie de tous les jours ?
- comment
peut-on pratiquer un art martial porteur de valeurs nobles et dès qu'on sort du
cadre du dojo se comporter en goujat, qui plus est avec d'autres aïkidokas ?
C'est pourtant
ce que l'on observe ici.
2 / Pour se donner de l'importance (parfois même à leurs propres
yeux) certains se font plus califes que le calife...
Certains petits
professeurs ne brillant pas par leurs niveaux mais flattés par les
encouragements et les compliments (mesurés) "de leur grand maître",
se sentent pousser des ailes.
Jusque là plutôt
médiocres, ils se métamorphosent soudainement en donneurs de leçons, attitude
que le calife lui-même n'a jamais adoptée.
Malheureusement pour eux
il ne suffit pas de se couper les cheveux ou de changer d'aspect physique pour
ne plus être cons.
C'est un autre
triste constat : les gogos ne manquent pas face à ces mini gourous locaux
puisqu'au vu de leurs effectifs ces usurpateurs réussissent parfois à avoir un
certain succès.
Cela n'honore
pas l'authentique maître situé tout en haut de la pyramide car il se révèle incapable
de contrôler les déviances d'élèves pourtant proches, qui nuisent à son image,
celle de l'aïkido et à de nombreux pratiquants honnêtes.
Il suffit de
tomber sur des forums consacrés à l'aïkido pour se rendre compte à quel point
ses petits soldats tout en parlant en son nom, donnent libre cours à leurs pitoyables
élucubrations. Evidemment, tout cela "sous un courageux anonymat"...
Ils ramènent
leur prétendue science en parlant comme des livres mais ne font que singer leur
professeur sans avoir rien compris à l'aïkido du fondateur Ueshiba Morihei.
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