4.10.14

"Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés"

"Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés"
(Les Animaux malades de la peste - La Fontaine) 

Il y a des années de cela (2008), nous avions été destinataires d'une lettre ouverte rédigée par un très ancien membre de la structure à laquelle nous appartenions.
Le propos nous échappait car à l'époque, nous n'avions pas encore été confrontés aux problèmes évoqués et l'on pratiquait sereinement sans que personne ne nous cherche de noises.
Il en va tout autrement aujourd'hui.
C'est par hasard que nous avons retrouvé ce lien URL
Les pages étant particulièrement bien rédigées, nous ne pouvons que conseiller de les consulter car elles recoupent nos (tristes) analyses. 

1 / Ni les premiers ni les derniers ou : mêmes maux, mêmes conséquences...
Certains des personnages mentionnés à cette adresse (repérés au travers les dojos cités) sont les mêmes que ceux qui ont tenté de nous nuire.
Si l'on suit les liens menant aux sites de leurs dojos, il n'est pas nécessaire d'avoir une grande capacité d'analyse pour comprendre qu'on est en présence de pratiquants présomptueux et mégalomanes, suffisants et imbus de leur personne, bref de profils à l'opposé de ce que l'on souhaite rencontrer quand on choisit de pratiquer l'aïkido. 

Outre que le langage est souvent primaire, le ton péremptoire et les sujets (empilements répétitifs de blablas tendant à l'obsession paranoïaque) sont symptomatiques d'un état d'esprit peu compatible avec une quête de l'harmonie.
Informer sur les choix d'une pratique et ses caractéristiques n'oblige nullement à piétiner ce qui se fait ailleurs ou autrement. Cette attitude très offensive révèle une incroyable intolérance et trahit une grande faiblesse.

Ces comportements ne correspondent pas aux fondements philosophiques de l'aïkido et l'on ne peut que fortement douter de la cohérence entre leur discours et leur pratique :
- comment peut-on s'auto qualifier de "maître" (d'aïkido) et agir à l'opposé de ses concepts ?
- comment peut-on avoir l'audace de se référer à l'aïkido traditionnel (donc à Ueshiba Morihei) et se comporter en salopard dans la vie de tous les jours ?
- comment peut-on pratiquer un art martial porteur de valeurs nobles et dès qu'on sort du cadre du dojo se comporter en goujat, qui plus est avec d'autres aïkidokas ?
C'est pourtant ce que l'on observe ici. 

2 / Pour se donner de l'importance (parfois même à leurs propres yeux) certains se font plus califes que le calife...
Certains petits professeurs ne brillant pas par leurs niveaux mais flattés par les encouragements et les compliments (mesurés) "de leur grand maître", se sentent pousser des ailes.
Jusque là plutôt médiocres, ils se métamorphosent soudainement en donneurs de leçons, attitude que le calife lui-même n'a jamais adoptée.
Malheureusement pour eux il ne suffit pas de se couper les cheveux ou de changer d'aspect physique pour ne plus être cons.
                                                                    
3 / Culture et confiture, moins on en a plus on l'étale...
C'est un autre triste constat : les gogos ne manquent pas face à ces mini gourous locaux puisqu'au vu de leurs effectifs ces usurpateurs réussissent parfois à avoir un certain succès.
Cela n'honore pas l'authentique maître situé tout en haut de la pyramide car il se révèle incapable de contrôler les déviances d'élèves pourtant proches, qui nuisent à son image, celle de l'aïkido et à de nombreux pratiquants honnêtes.
Il suffit de tomber sur des forums consacrés à l'aïkido pour se rendre compte à quel point ses petits soldats tout en parlant en son nom, donnent libre cours à leurs pitoyables élucubrations. Evidemment, tout cela "sous un courageux anonymat"...  

Ils ramènent leur prétendue science en parlant comme des livres mais ne font que singer leur professeur sans avoir rien compris à l'aïkido du fondateur Ueshiba Morihei.
 
 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire