"La
liberté, c'est pouvoir dire non"
(Sartre)
Compte-tenu d'un turn over
important régnant dans les dojos, il y aura toujours un vivier de gens nouveaux
qui se satisfont d'encadrants qui, sous couvert du terme "tradition
orientale" ou "tradition martiale", leur font accepter une
soumission totale afin d'assouvir leurs ego.
D'autre part, le rabattage
n'est pas rare et s'effectue notamment en promettant un grade supérieur à celui
déjà détenu ailleurs.
Même phénomène pour
retenir les pratiquants quand ils veulent se barrer ailleurs...
Il est facile d'observer
qu'il y a surenchère au niveau des grades, au point que ceux-ci n'ont plus
aujourd'hui de véritable sens.
On peut noter également
que nombre de clubs passent d'une étiquette à une autre, tant d'une fédé à une
école que d'une école à une structure autre.
Si cela peut être
compréhensible au niveau d'un individu qui cherche sa voie, ça l'est beaucoup
moins au niveau d'un dojo complet.
"Ils
ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés"
(Les
Animaux malades de la peste - La Fontaine)
Il y a des années de cela
(2008), nous avions été destinataires d'une
lettre ouverte
rédigée par un très ancien membre de la structure à laquelle nous appartenions.
Le propos nous échappait
car à l'époque, nous n'avions pas encore été confrontés aux problèmes évoqués
et l'on pratiquait sereinement sans que personne ne nous cherche de
noises.
Il en va tout autrement
aujourd'hui.
C'est par hasard que nous
avons retrouvé ce
lien URL
Les pages étant
particulièrement bien rédigées, nous ne pouvons que conseiller de les consulter
car elles recoupent parfaitement nos (tristes) analyses.
Ni les premiers ni les derniers ou
: mêmes maux, mêmes conséquences.
Certains des personnages mentionnés
à cette adresse (repérés
au travers les dojos cités) sont les mêmes que ceux qui ont tenté de nous
nuire.
Si l'on suit les liens menant à ces
dojos, il n'est pas nécessaire d'avoir une grande capacité d'analyse pour
comprendre qu'on est en présence de pratiquants présomptueux et mégalomanes,
suffisants et imbus de leur personne, bref de profils à l'opposé de ce que l'on
souhaite rencontrer quand on choisit de pratiquer l'aïkido (ou le taïkido).
Le ton péremptoire employé
dans leur rédaction et les sujets (tendant à l'obsession paranoïaque) sont
symptomatiques d'un état d'esprit peu compatible avec une quête de l'harmonie.
Informer sur les choix
d'une pratique et ses caractéristiques n'oblige nullement à piétiner ce qui se
fait ailleurs ou autrement. Cette attitude très offensive révèle une incroyable
intolérance et trahit un grand état de faiblesse.
Ces comportements ne correspondent
pas aux fondements philosophiques de l'aïkido et l'on ne peut que fortement
douter de la cohérence entre leur discours et leur pratique :
- comment peut-on s'auto
qualifier de "maître" (d'aïkido) et agir à l'opposé de ses concepts ?
- comment peut-on avoir
l'audace de se référer à l'aïkido traditionnel et se comporter comme un
enfouaré dans la vie de tous les jours ?
Quand on gratte un peu, on
s'aperçoit que c'est pourtant le cas ici, comme dans bien d'autres lieux.
Cela prouve une fois de plus que les
gogos ne manquent pas face à ces mini gourous locaux et ça n'honore pas
l'authentique maître situé tout en haut de la pyramide, incapable de contrôler ses
éléments déviants qui nuisent à son image, celle de l'aïkido et à de nombreux pratiquants en recherche sincère.
Pire, il est probable que ce maître (le seul méritant ce titre dans la région) soit lui même berné et ignore le comportement de ses sbires hors dojos, puisque pour lui seul compte le nombre d'effectif obtenu (qui sont aussi des adhérents).
Il cesserait sans doute de les encenser s'il était conscient des conséquences de leurs attitudes à terme.
Pire, il est probable que ce maître (le seul méritant ce titre dans la région) soit lui même berné et ignore le comportement de ses sbires hors dojos, puisque pour lui seul compte le nombre d'effectif obtenu (qui sont aussi des adhérents).
Il cesserait sans doute de les encenser s'il était conscient des conséquences de leurs attitudes à terme.