A propos des grades

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Quand les politicards protègent les intérêts de leurs copains...

Ceux qui tirent les ficelles afin de protéger leurs copains que notre présence dérange emploient toujours les mêmes moyens de harcèlements en nous menaçant périodiquement de suspension d'accès aux salles.
Les prétextes sont anodins et infondés : dépassement de l'horaire de 10 minutes (alors que la salle est libre après nous), remplacement ponctuel du prof par un uchi deshi (une seule fois en 3 ans).
C'est bien connu, plus on descend dans la hiérarchie des pouvoirs plus on constate, tout en bas, que les lampistes de service (payés par nos impôts) tentent grossièrement d'user de leur prétendue autorité pour emmerder des gens bénévoles et investis quand ceux-ci ne sont pas les bienvenus. Cette attitude pour le moins maladroite n'est en fait que la partie émergée des pressions subies par notre association depuis sa création.
Ces pressions revêtent des formes parfois subtiles mais elles sont bien réelles et visent à pourrir notre quotidien jusqu'à ce qu'on jette l'éponge et qu'on laisse entièrement le terrain à leurs protégés, procédé classique maintes fois employé à l'encontre de l'aïkido traditionnel.
Ce climat de corruptions se déroule pourtant dans un pays dit "libre" et "égalitaire"...
Qui pourrait en être convaincu ?
Un paradoxe est couramment observé, que ce soit hier ou aujourd'hui : ce sont souvent les fonctionnaires qui brillent le plus par leur fainéantise ou leur incompétence, qui prétendent donner des leçons aux bénévoles qui ne sont eux, aucunement rétribués. Heureusement les roquets aboient mais sont rarement en capacité de mordre.
Le climat délétère savamment entretenu au sein même de l'univers de l'aïkido prend racine dans la guerre de tranchée que se livrent depuis toujours les 2 fédérations sportives franco françaises.
Les pratiquants d'aïkido traditionnel, respectueux de la discipline telle qu'elle a été conçue, sont totalement étrangers à l'univers sportif et refusent toute compromission.
Cette insoumission aux systèmes étatiques est essentiellement ce qui dérange les politicards locaux.

Un nouveau dojo d'aïkido traditionnel dans l'Allier

Après Montluçon, un Professeur diplômé pratiquant depuis plusieurs décennies, Gérard Duquesne propose de transmettre l'aïkido traditionnel, c'est-à-dire la discipline telle qu'elle a été conçue par Ueshiba Morihei.

Art martial et non sport de combat, respect des principes de base, une pédagogie inspirée des concepts orientaux sont quelques unes des qualités qui caractérisent ce nouveau dojo.

Les fédérations sportives sont déjà largement implantées dans le centre de la France, mais n'offrent pas le cadre approprié à l'art martial traditionnel qu'est l'aïkido.

Que vous soyez un nouveau pratiquant ou un aïkidoka expérimenté, venez découvrir les faces de l'aïkido qui constituent son fondement et qui ne sont transmises que par des maîtres authentiques.  

   

Aux usagers de "SIMILARSITES"....

Cela devient franchement irritant de se sentir espionné, pisté, contrôlé, fliqué, géré, surtout par de soi-disant "amis qui ne vous veulent que du bien..."
La technologie internet devient insidieusement liberticide en offrant à des gens pas forcément bien intentionnés, des outils pernicieux du type "similarsites".
Un professeur de dojo ne saurait accepter d'être assimilé à un chien tenu en laisse, même si la corde est prétendument jugée longue.
Du reste un chien ne peut pas être autonome.

Un aïkidoka est sensé représenter des valeurs traditionnelles qui font de plus en plus défaut dans nos sociétés. C'est aussi pour cela qu'il choisit cette discipline afin d'aligner son comportement sur de nobles concepts.
Combien y a t-il en réalité de pratiquants respectueux d'une attitude juste ?
Il ne suffit pas de prôner pour les autres si l'on ne commence pas à appliquer à soi-même et quel que soit le niveau d'ancienneté ou la position hiérarchique.
Dire blanc et faire noir discrédite tout discours et ôte toute fiabilité de l'enseignement.
Et ce ne sont pas les grades Dan "affichés incidemment" ("accidentellement" prétendront certains) qui peuvent habiliter un discours quand celui-ci baigne dans de flagrants mensonges.

Certains pratiquants zélés ou se croyant investis d'un droit de censure devraient réviser leur copie en se rappelant le principe de base "un maître un dojo".
Personne n'est sensé intervenir dans un dojo, dès lors que celui-ci respecte le maître et son enseignement ainsi que la discipline.
Un dojo n'est pas uniquement un lieu matériel limité aux 4 murs du gymnase qui l'héberge.
Il a aussi une image, qui est générée par son professeur, ses membres et son environnement, et parfois au travers de médias.
Subir un contrôle sur cet ensemble aurait des relents de fédé et serait peu compatible avec nos valeurs.

Consumérisme, association, dojo traditionnel

La plupart des parents aujourd'hui, ainsi que nombre de pratiquants adultes, n'ont pas réellement conscience de l'investissement des professeurs bénévoles qui n'ont pourtant pour seule ambition que de faire connaître leur activité et de partager une passion.
Le paiement d'une cotisation, si minime soit-elle, déclenche dans les esprits une notion de droits et de revendications et rarement un sentiment de devoir quoique ce soit à qui que ce soit, ni à l'association, ni au groupe et encore moins au professeur, ce dernier lorsqu'il est bénévole, étant sensé y trouver béatement tous les bonheurs du monde.
Pourtant les réalités sont tout autres.
En matière d'aïkido, que l'on observe le fonctionnement d'un dojo sous sa forme associative ou sous sa forme traditionnelle, l'adhérent-pratiquant n'est pas sans devoirs envers la structure qui l'héberge, le professeur qui lui transmet son savoir, et le groupe sans qui rien ne pourrait exister.
Le 1er des devoirs est sans conteste celui de s'efforcer d'être présent aux cours le plus régulièrement possible. Rien n'est plus irrespectueux envers un professeur que de lui faire comprendre que ses cours n'ont qu'un intérêt limité et que quantité d'autres activités passent avant.
Malheureusement on rencontre fréquemment ce comportement de consommateur, sous couvert que chacun est libre de son emploi du temps et de ses loisirs.
Qui pourrait avancer le contraire ?
Ainsi que l'exprimait l'année dernière le président de l'OMS (Office Montluçonnais du Sport), "nous sommes dans une société consumériste où les citoyens zappent d'une activité à l'autre".
On peut ajouter...sans jamais approfondir quoique ce soit et en ne cessant parallèlement de manifester des exigences, de préférence sans avoir jamais à donner une quelconque contre partie, ne serait-elle que morale.
Cette mentalité à sens unique est le reflet de notre société : prendre un max et jamais rien donner.
Bref on en arrive à un monde de tricheurs où paradoxalement celui qui veut demeurer honnête passe pour exception et finalement le couillon du coin.

Préserver le temps imparti à l'étude de l'aïkido

Même si l'exercice d'un métier peut être l'une des sources d'épanouissement, le but reste quand même de procurer des revenus financiers puisque l'époque du troque est révolue depuis longtemps.
Travailler est donc un moyen et non un but.
Chaque être humain se réalise en trouvant sa propre voie et en tenant sa place dans la société où il vit.
Sa vie lui appartient et elle ne doit jamais être la propriété de quiconque, ne serait-ce que temporairement.
L'époque des cerfs et des moujiks est révolue depuis longtemps mais elle a laissé des traces.
Depuis des décennies, la taylorisation a entraîné la confusion dans l'esprit des gens.
L'homme robotisé (pour ne pas dire lobotomisé) en a presque oublié une partie de sa dignité et le contexte actuel volontairement entretenu par "les grands détenteurs de pouvoirs", prédispose à tout accepter.
A l'échelle locale, les employeurs quels qu'ils soient tirent de plus en plus sur la ficelle afin d'aliéner les travailleurs pour toujours plus de profits.
L'employeur peut être l'état, une boite privée ou même soi même si l'on est par exemple artisan.
Cette tyrannie du toujours plus fait nous éloigner chaque jour davantage du véritable sens de notre raison d'être ici bas.
La part de notre vie privée (ne devrait-on pas dire "vie" tout court) est sans cesse grignotée : par les temps de transports, par les contraintes administratives, par les employeurs, etc.
Les temps de vraie vie et de libertés se réduisant, certains les veulent plus intenses ou plus "extrêmes".
D'autres au contraire tentent de fuir ces réalités et se réfugient dans des états mentaux artificiels (alcool, drogues, excitants, neuroleptiques...).
Les périodes que l'on peut consacrer à la famille, les enfants, les amis, les loisirs réparateurs ou les hobbies sont de mois en mois et d'années en années davantage comprimées, à tel point que cet insidieux phénomène est appréhendé comme une fatalité du monde moderne.
Si l'on veut s'élever il faut le refuser, le destin de l'Homme n'étant pas d'être asservi à des systèmes.
Rappelons en outre que les systèmes profitent essentiellement à ceux qui sont en haut des pyramides...
Comment définir un accomplissement de soi et un meilleur bien-être ?
Chaque individu doit pouvoir avoir sa réponse et ses propres moyens.
Pour cela, avant de dire béatement amen à toutes autorités, il doit peser sereinement ce à quoi il se trouve engagé.
Ce n'est pas nouveau, mais de plus en plus on voit des pratiquants qui abandonnent leurs cours en raison de contraintes, essentiellement professionnelles.
Cela résulte d'une gestion inadéquate de leur temps, qui souvent n'est plus maîtrisé par eux-mêmes mais par des tiers ou des systèmes.
Il faut être vigilant et ne pas se laisser déposséder du peu de libertés qui nous restent.

L'usurpation est aussi un vol

Il est toujours sympathique de participer à une action de groupe décrite comme altruiste, comme par exemple la promotion d'une pratique ou d'une idée.
Par contre il est désagréable de se voir déposséder de son action en y voyant associé un nom qui n'est pas le votre malgré qu'on en soit l'auteur ou l'initiateur.
Ce n'est pas une question d'ego, c'est que personne aime être exploité ou être pris pour une burne.
Même dans les activités les plus nobles on trouve ce genre de comportement et c'est affligeant.
Partout et quelque soit le domaine, il y a toujours des gens prêts à s'accaparer les lauriers issus du travail des autres.

Aïkido traditionnel tel qu'il a été conçu ou sport ?

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