Un stage réunit des pratiquants de tous horizons qui pour beaucoup ne se connaissent pas. Comme c'est aussi un échantillon de notre société, on y trouve toujours 3 % de "monsieur je sais tout" ou d'abrutis que l'aïkido n'a pas soignés et ne soignera jamais. Le plus désolant c'est qu'on ne leur a pas transmis l'humilité et que - pire - certains ne peuvent s'empêcher de se substituer au maître animant le stage, comme s'ils étaient investis d'une délégation quelconque. C'est ainsi qu'ils prodiguent conseils et directives verbales à leurs partenaires, souvent totalement mal t'a propos et détruisant ainsi le travail de l'animateur. Cette attitude, outre qu'elle est en totale opposition avec l'étiquette, est de nature à déstabiliser les pratiquants honnêtes qui sont venus participer au cours d'un maître et non celui d'un obscure pratiquant inscrit dans un quelconque dojo, tout comme l'ensemble des stagiaires. Comme on juge aussi un professeur au travers ses élèves, on peut s'interroger sur la qualité de l'enseignement qu'ont reçu de tels personnages. Cela permet néanmoins de pointer les dojos qu'il faut éviter...
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