10.1.16

La mariée était soi disant trop belle...

Il y a maintenant 2 ans, les trouducs de la structure à laquelle mon dojo appartenait reprochaient à mes sites internet d'être trop visibles et trop complets, bref tellement bien conçus qu'ils faisaient de l'ombre aux sites miteux consacrés à leur grand-maître-gourou ou son organisation. Aujourd'hui ces prétendus webmaster - de bas niveau - sont toujours aussi incompétents et n'ont toujours pas évolué : leurs sites sont toujours aussi confus, rédigés dans un français approximatif et utilisent un langage prétentieux voir outrancier (c'est dans leurs gênes), se prenant pour "les nouveaux maîtres du monde"...de l'aïkido.
Cela ne les empêche pas de piquer et d'exploiter ce qu'ils ont vu ailleurs, n'étant en cela guère plus vertueux que les organisations concurrentes qu'ils passent pourtant leur temps à critiquer, que ce soit au travers leurs écrits, dans les médias ou à l'occasion des "stages" qui sont aussi pour eux des moments de propagande (tout comme le font certaines sectes).

Il y a un gouffre entre la qualité de l'enseignement du maître (le patron de l'école) et celle des petits soldats qui dénaturent son image en permanence.

Le problème n'est pas unique, il est le même avec tous "les grands noms de l'aïkido", celui de l'après Tamura étant le plus connu.
 
Je pensais autrefois que le terme "piquer" était incongru entre membres d'une même organisation, pensant qu'il s'agissait seulement d'exploiter certains outils en commun, par économie ou pour rechercher une certaine synergie.

Avec le recul je me suis rendu compte que c'était toujours à sens unique et que les piqueurs n'étaient en fait que des exploiteurs en mal d'imagination mais qui cherchent en permanence des lauriers afin de se faire bien voir de leur gourou.