A cause d’un déménageur escroc, j’ai déménagé en août 2010 dans des conditions cauchemardesques qui m’ont contraint à porter des charges lourdes de façon répétée.
Cela a entraîné un blocage du dos pendant plus 1 mois.
A cela a succédé une angine récalcitrante à cause d’un médecin incompétent qui n’a pas voulu se mettre à mon écoute et en me prescrivant, malgré ma mise en garde, un antibiotique inadapté.
Puis se sont enchaînées de multiples douleurs « rhumatismales » très invalidantes.
Et pour finir je me retrouve avec des analyses et des diagnostiques négatifs en cascade.
Cette évocation n’intéressera personne, si ce n’est que les dégradations successives de ma santé coïncident aussi avec l’arrêt de la pratique de l’aïkido.
Je pratique assidûment l’aïkido depuis plus de 30 ans et les 17 années qui ont précédé ces déconvenues, je n’ai eu que 3 jours « d’arrêt maladie », et pour des motifs bénins (gastro et torticolis).
Alors pourquoi ne pas reprendre l’aïkido, puisque celui-ci semblait si bien participer à un bon entretien physique ?
Et bien parce que « tout simplement » ayant été prof ces 12 dernières années, je suis « condamné » à devoir recréer un nouveau dojo puisque « mon maître » n’est pas « représenté » dans ma nouvelle région.
Cela veut dire que dans les environs aucun de ses élèves ne possède de dojo susceptible de m’accueillir, auquel cas ce dojo serait alors considéré comme l’une des « succursales » du dojo de mon maître.
En aïkido traditionnel, on choisit son maître.
On est libre de quitter son enseignement et d’aller n’importe où pratiquer mais on est alors définitivement banni.
Ce sont les dures lois de l’aïkido traditionnel (choisi librement) garant d’une éthique issue de principes orientaux et fidèle à son fondateur.
Peu d’occidentaux sont à même de comprendre cette approche, même parmi les aïkidokas, la majorité fantasmant sur le sectarisme ou les gourous, voir sur « le syndrome de Stockholm »…
Rien de tout cela pourtant.
On ne peut avoir joui de l’enseignement d’un maître et le quitter pour des raisons sans rapport avec la discipline mais pour des raisons de conjonctures matérielles.
Pour l’instant je suis donc en stand-by en attendant des jours meilleurs.
" Qui se plie restera entier, qui s’incline sera redressé. Qui se tient creux sera rempli, qui subit l’usure se renouvellera. " Lao Tseu
Cela a entraîné un blocage du dos pendant plus 1 mois.
A cela a succédé une angine récalcitrante à cause d’un médecin incompétent qui n’a pas voulu se mettre à mon écoute et en me prescrivant, malgré ma mise en garde, un antibiotique inadapté.
Puis se sont enchaînées de multiples douleurs « rhumatismales » très invalidantes.
Et pour finir je me retrouve avec des analyses et des diagnostiques négatifs en cascade.
Cette évocation n’intéressera personne, si ce n’est que les dégradations successives de ma santé coïncident aussi avec l’arrêt de la pratique de l’aïkido.
Je pratique assidûment l’aïkido depuis plus de 30 ans et les 17 années qui ont précédé ces déconvenues, je n’ai eu que 3 jours « d’arrêt maladie », et pour des motifs bénins (gastro et torticolis).
Alors pourquoi ne pas reprendre l’aïkido, puisque celui-ci semblait si bien participer à un bon entretien physique ?
Et bien parce que « tout simplement » ayant été prof ces 12 dernières années, je suis « condamné » à devoir recréer un nouveau dojo puisque « mon maître » n’est pas « représenté » dans ma nouvelle région.
Cela veut dire que dans les environs aucun de ses élèves ne possède de dojo susceptible de m’accueillir, auquel cas ce dojo serait alors considéré comme l’une des « succursales » du dojo de mon maître.
En aïkido traditionnel, on choisit son maître.
On est libre de quitter son enseignement et d’aller n’importe où pratiquer mais on est alors définitivement banni.
Ce sont les dures lois de l’aïkido traditionnel (choisi librement) garant d’une éthique issue de principes orientaux et fidèle à son fondateur.
Peu d’occidentaux sont à même de comprendre cette approche, même parmi les aïkidokas, la majorité fantasmant sur le sectarisme ou les gourous, voir sur « le syndrome de Stockholm »…
Rien de tout cela pourtant.
On ne peut avoir joui de l’enseignement d’un maître et le quitter pour des raisons sans rapport avec la discipline mais pour des raisons de conjonctures matérielles.
Pour l’instant je suis donc en stand-by en attendant des jours meilleurs.
" Qui se plie restera entier, qui s’incline sera redressé. Qui se tient creux sera rempli, qui subit l’usure se renouvellera. " Lao Tseu