Ceux qui tirent les ficelles afin de protéger leurs copains que notre
présence dérange emploient toujours les mêmes moyens de harcèlements en
nous menaçant périodiquement de suspension d'accès aux salles.
Les
prétextes sont anodins et infondés : dépassement de l'horaire de 10
minutes (alors que la salle est libre après nous), remplacement ponctuel
du prof par un uchi deshi (une seule fois en 3 ans).
C'est bien connu, plus on descend dans la hiérarchie des pouvoirs plus on constate,
tout en bas, que les lampistes de service (payés par nos impôts)
tentent grossièrement d'user de leur prétendue autorité pour emmerder
des gens bénévoles et investis quand ceux-ci ne sont pas les bienvenus.
Cette attitude pour le moins maladroite n'est en fait que la partie
émergée des pressions subies par notre association depuis sa création.
Ces pressions revêtent des formes parfois subtiles mais elles sont bien
réelles et visent à pourrir notre quotidien jusqu'à ce qu'on jette
l'éponge et qu'on laisse entièrement le terrain à leurs protégés, procédé classique maintes fois employé à l'encontre de l'aïkido
traditionnel.
Ce climat de corruptions se déroule pourtant dans un pays dit "libre" et "égalitaire"...
Qui pourrait en être convaincu ?
Un paradoxe est couramment observé, que ce soit hier ou aujourd'hui : ce
sont souvent les fonctionnaires qui brillent le plus par leur
fainéantise ou leur incompétence, qui prétendent
donner des leçons aux bénévoles qui ne sont eux, aucunement rétribués.
Heureusement les roquets aboient mais sont rarement en capacité de
mordre.
Le climat délétère savamment entretenu au sein même de l'univers de l'aïkido prend racine dans la guerre de tranchée que se livrent depuis toujours les 2 fédérations sportives franco françaises.
Les pratiquants d'aïkido traditionnel, respectueux de la discipline telle qu'elle a été conçue, sont totalement étrangers à l'univers sportif et refusent toute compromission.
Cette insoumission aux systèmes étatiques est essentiellement ce qui dérange les politicards locaux.
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